Il y a dix ans, j’étais à l’école secondaire. Je trouvais ça plutôt difficile, mais maintenant, je me rends compte que c’était tellement facile! Je jouais au soccer environ trois fois par semaine. Aussi, j’étais dans le conseil des élèves. J’ai particulièrement aimé cette expérience puisqu’elle m’a permis de connaître plein de gens auxquels je n’aurais probablement jamais parlé sans mon implication dans le conseil des élèves. Je me souviens aussi de mes premières amoureuses! Comme c’était drôle! Nous étions tellement gênés! Finalement, cela fait moins de dix ans, mais je me souviens très bien de mon bal de finissant au secondaire. Je m’en souviendrai toute ma vie! Les complets, les robes de soirée, le couronnement du roi et de la reine du bal! Que de souvenirs!
À la prochaine!
Alexandre
mercredi 11 novembre 2009
La société québécoise
Salut!
Voici mon billet sur la société québécoise!
Étant un Québécois de naissance, je baigne à l’intérieur de la société québécoise depuis toujours. Il m’est donc difficile d’avoir un regard objectif sur celle-ci et il est certain que je prêcherai sans doute pour ma paroisse. D’abord, je trouve la société québécoise très intéressante à cause de son caractère distinct de la société canadienne. Mais comment définir cette « distinction » à laquelle tiennent mordicus plusieurs Québécois? Je pense qu’elle passe notamment par le fait français (nous sommes six millions à parler encore français dans un océan de deux-cents millions d’anglophones, quatre-cents ans après la conquête anglaise), mais aussi par nos racines latines qui font de nous, à mon sens, un peuple de bons vivants et de personnes chaleureuses. Ce que j’aime particulièrement au Québec, c’est vraiment le caractère accueillant des gens. Ici, l’expression « quand il y en a pour cinq, il y en a pour six » prend tout son sens! En effet, si vous allez chez quelqu’un près de l’heure du souper, attendez-vous à y être invité pour prendre le repas en sa compagnie. En ce qui concerne l’ouverture de la société québécoise, je pense qu’elle est assez ouverte, quoiqu’elle tienne à certaines valeurs « sine qua non ». L’égalité des hommes et des femmes, la liberté d’expression, etc., en son des bons exemples. Nous nous sommes même dotés d’une charte : la Charte québécoise des Droits et Libertés. C’est donc, rapidement, un léger portrait de la société québécoise selon moi.
Bonne journée!
Alexandre
Voici mon billet sur la société québécoise!
Étant un Québécois de naissance, je baigne à l’intérieur de la société québécoise depuis toujours. Il m’est donc difficile d’avoir un regard objectif sur celle-ci et il est certain que je prêcherai sans doute pour ma paroisse. D’abord, je trouve la société québécoise très intéressante à cause de son caractère distinct de la société canadienne. Mais comment définir cette « distinction » à laquelle tiennent mordicus plusieurs Québécois? Je pense qu’elle passe notamment par le fait français (nous sommes six millions à parler encore français dans un océan de deux-cents millions d’anglophones, quatre-cents ans après la conquête anglaise), mais aussi par nos racines latines qui font de nous, à mon sens, un peuple de bons vivants et de personnes chaleureuses. Ce que j’aime particulièrement au Québec, c’est vraiment le caractère accueillant des gens. Ici, l’expression « quand il y en a pour cinq, il y en a pour six » prend tout son sens! En effet, si vous allez chez quelqu’un près de l’heure du souper, attendez-vous à y être invité pour prendre le repas en sa compagnie. En ce qui concerne l’ouverture de la société québécoise, je pense qu’elle est assez ouverte, quoiqu’elle tienne à certaines valeurs « sine qua non ». L’égalité des hommes et des femmes, la liberté d’expression, etc., en son des bons exemples. Nous nous sommes même dotés d’une charte : la Charte québécoise des Droits et Libertés. C’est donc, rapidement, un léger portrait de la société québécoise selon moi.
Bonne journée!
Alexandre
Moi et la langue
Bonjour!
Aujourd’hui, le sujet de mon billet tourne essentiellement autour de la langue. Comme tu le sais déjà, j’étudie en enseignement du français au secondaire. La langue française a donc évidemment une importance particulière pour moi! En effet, comme j’ai à enseigner cette langue, je me dois de la connaître en profondeur. C’est un défi de taille, car, à mon avis, la langue française est assez complexe! Ce que je trouve le plus difficile avec la langue française, ce sont les exceptions. Elle en possède tellement qu’on pourrait presque la surnommer « la langue des exceptions »! Cependant, c’est aussi une langue d’une grande beauté qui facilite, à mon avis, l’épanouissement de notre imagination. En effet, je pense que l’expression « une image vaut mille mots » pourrait être transformée en « un mot vaut milles images » pour bien représenter ce qu’est la langue française. Mis à part le français, je maîtrise un peu la langue anglaise, l’ayant étudiée du primaire jusqu’au collégial. J’aime bien le caractère « pratique » de cette langue. C’est comme un passe-partout : tout le monde ou presque parle l’anglais! Je trouve aussi que c’est une langue plus simple à apprendre que le français. Je connais aussi un peu l’espagnol, mais malheureusement, cette connaissance se limite à ce que j’ai pu apprendre lors de voyages au Mexique et à Cuba. Je suis donc un expert pour me commander une « cerveza », mais c’est à peu près tout. Cela dit, c’est une langue qui m’intéresse et qui, je crois, ressemble davantage au français que plusieurs autres langues. La prochaine étape sera donc de parfaire mon espagnol!
Voilà!
Alexandre
Aujourd’hui, le sujet de mon billet tourne essentiellement autour de la langue. Comme tu le sais déjà, j’étudie en enseignement du français au secondaire. La langue française a donc évidemment une importance particulière pour moi! En effet, comme j’ai à enseigner cette langue, je me dois de la connaître en profondeur. C’est un défi de taille, car, à mon avis, la langue française est assez complexe! Ce que je trouve le plus difficile avec la langue française, ce sont les exceptions. Elle en possède tellement qu’on pourrait presque la surnommer « la langue des exceptions »! Cependant, c’est aussi une langue d’une grande beauté qui facilite, à mon avis, l’épanouissement de notre imagination. En effet, je pense que l’expression « une image vaut mille mots » pourrait être transformée en « un mot vaut milles images » pour bien représenter ce qu’est la langue française. Mis à part le français, je maîtrise un peu la langue anglaise, l’ayant étudiée du primaire jusqu’au collégial. J’aime bien le caractère « pratique » de cette langue. C’est comme un passe-partout : tout le monde ou presque parle l’anglais! Je trouve aussi que c’est une langue plus simple à apprendre que le français. Je connais aussi un peu l’espagnol, mais malheureusement, cette connaissance se limite à ce que j’ai pu apprendre lors de voyages au Mexique et à Cuba. Je suis donc un expert pour me commander une « cerveza », mais c’est à peu près tout. Cela dit, c’est une langue qui m’intéresse et qui, je crois, ressemble davantage au français que plusieurs autres langues. La prochaine étape sera donc de parfaire mon espagnol!
Voilà!
Alexandre
jeudi 8 octobre 2009
Sherbrooke, ma ville!
Moi, je n’ai pas choisi Sherbrooke, je suis né ici! J’aime particulièrement la ville, mais je n’ai pas l’intention d’y habiter toute ma vie. Ce que je préfère, c’est l’ambiance du centre-ville le soir. En effet, comme Sherbrooke est une ville étudiante, il y a toujours plein de gens le soir dans les boîtes de nuits et les pubs! Tout le monde est chaleureux et les gens aiment faire la fête. Un endroit que tu dois absolument découvrir est la promenade autour du Lac des Nations. C’est une promenade pour piétons aménagée tout autour d’une rivière. C’est un endroit tout désigné pour faire des promenades romantiques en amoureux ou pour discuter entre amis. Aussi, au même endroit, il y a le Marché de la Gare. Si tu as une chance, vas-y! On y trouve de la crème glacée, des gelatos et des fromages fins québécois. Ce que j’aime le moins à Sherbrooke, c’est le Carrefour de l’Estrie. J’aime bien le fait que tous les magasins soient regroupés au même endroit, mais je trouve que le « design » et la décoration de l’endroit laissent à désirer. On peut dire qu’une petite cure de jeunesse ne ferait pas de mal au carrefour!
Mon pays
Salut!
Désolé pour le délai! Pour ce deuxième commentaire, je vais te parler du Canada, mon pays de naissance. Comment pourrais-je bien te décrire le Canada? Je pense que ce qui frappe en arrivant ici, c’est la froidure de l’hiver. Il fait assez froid ici entre les mois de novembre et avril. Pour les gens qui sont habitués à vivre dans des pays où la température tourne autour de trente degrés Celsius, l’écart est assez grand : ici, l’hiver, il fait plutôt trente degrés Celsius sous zéro. Mis à part la rigueur du climat, je trouve que le Canada est vraiment un pays où il fait bon vivre! Ici, la démocratie est bien en place, même si, malheureusement, peu de gens vont voter. Aussi, il est important de savoir que le Canada a deux langues officielles : l’anglais et le français. Le Québec est la province où il y a le plus de francophones au Canada. Pour ce qui est de sa superficie, le Canada est le deuxième plus grand pays au monde. Ce que j’aime de mon coin de pays, c’est la rotation des saisons. En effet, je peux profiter de toutes les saisons : l’été, l’automne, l’hiver et le printemps. L’un des avantages de cette rotation des saisons est de pouvoir faire autant de sports d’hiver que de sports d’été! Aussi, ce que j’aime particulièrement, c’est le changement de la couleur des feuilles à l’automne. Les arbres deviennent rouges, jaunes et orange. C’est vraiment magnifique! J’espère que tu prendras le temps de regarder ces couleurs dans les arbres pendant ton séjour ici!
Désolé pour le délai! Pour ce deuxième commentaire, je vais te parler du Canada, mon pays de naissance. Comment pourrais-je bien te décrire le Canada? Je pense que ce qui frappe en arrivant ici, c’est la froidure de l’hiver. Il fait assez froid ici entre les mois de novembre et avril. Pour les gens qui sont habitués à vivre dans des pays où la température tourne autour de trente degrés Celsius, l’écart est assez grand : ici, l’hiver, il fait plutôt trente degrés Celsius sous zéro. Mis à part la rigueur du climat, je trouve que le Canada est vraiment un pays où il fait bon vivre! Ici, la démocratie est bien en place, même si, malheureusement, peu de gens vont voter. Aussi, il est important de savoir que le Canada a deux langues officielles : l’anglais et le français. Le Québec est la province où il y a le plus de francophones au Canada. Pour ce qui est de sa superficie, le Canada est le deuxième plus grand pays au monde. Ce que j’aime de mon coin de pays, c’est la rotation des saisons. En effet, je peux profiter de toutes les saisons : l’été, l’automne, l’hiver et le printemps. L’un des avantages de cette rotation des saisons est de pouvoir faire autant de sports d’hiver que de sports d’été! Aussi, ce que j’aime particulièrement, c’est le changement de la couleur des feuilles à l’automne. Les arbres deviennent rouges, jaunes et orange. C’est vraiment magnifique! J’espère que tu prendras le temps de regarder ces couleurs dans les arbres pendant ton séjour ici!
mercredi 23 septembre 2009
Bonjour!
Bonjour,
je m’appelle Alexandre et je suis étudiant de quatrième année au baccalauréat en enseignement au secondaire à l’université de Sherbrooke. Contrairement à plusieurs de mes collègues de classe, je suis né et j’habite à Sherbrooke. J’ai donc l’avantage de connaître assez bien cette ville et j’essaie, autant que possible, de faire profiter de cet avantage à mes confrères et consœurs étudiant(e)s. J’ai eu l’occasion, au cours de ces dernières années d’études en enseignement, de faire des stages dans plusieurs écoles publiques et privées de la région sherbrookoise. Quelles différences il y a entre ces deux mondes! La structure, l’organisation et surtout le type d’élèves sont, bien qu’il y ait quelques ressemblances, assez différents entre le système d’éducation public et privé. C’est une réalité qui m’a marqué depuis mon entrée au baccalauréat en enseignement. Mis à part mes études, je travaille à temps partiel comme agent de service à la clientèle pour une entreprise de vente de vêtements au détail. Mon travail consiste essentiellement à m’assurer que le personnel de vente offre un service d’une qualité exceptionnelle à chacun des clients qui font affaire avec l’entreprise. Lorsque ce n’est pas le cas, je dois moi-même entrer en contact avec le client et lui proposer des solutions et des alternatives à ses demandes pour ensuite m’assurer de sa satisfaction totale. En ce qui concerne ma vie sociale, j’ai la chance de côtoyer plusieurs personnes avec qui j’ai de bons liens d’amitié. J’ai besoin de me sentir entouré et épaulé pour être bien. Je suis quelqu’un de très sociable et je suis loin d’être timide. Je n’ai pas peur d’aller vers les gens et de faire de nouvelles connaissances. Pour ce qui est de l’avenir, il va de soi que, dès la fin de cette année, je pourrai commencer à enseigner au secondaire. Cependant, je ne sais pas encore si je vais me lancer tout de suite dans ce domaine. La littérature et les communications m’intéressent énormément et j’aimerais faire une maîtrise dans l’un ou l’autre de ces domaines. On verra bien, l’avenir nous réserve toujours des surprises!
je m’appelle Alexandre et je suis étudiant de quatrième année au baccalauréat en enseignement au secondaire à l’université de Sherbrooke. Contrairement à plusieurs de mes collègues de classe, je suis né et j’habite à Sherbrooke. J’ai donc l’avantage de connaître assez bien cette ville et j’essaie, autant que possible, de faire profiter de cet avantage à mes confrères et consœurs étudiant(e)s. J’ai eu l’occasion, au cours de ces dernières années d’études en enseignement, de faire des stages dans plusieurs écoles publiques et privées de la région sherbrookoise. Quelles différences il y a entre ces deux mondes! La structure, l’organisation et surtout le type d’élèves sont, bien qu’il y ait quelques ressemblances, assez différents entre le système d’éducation public et privé. C’est une réalité qui m’a marqué depuis mon entrée au baccalauréat en enseignement. Mis à part mes études, je travaille à temps partiel comme agent de service à la clientèle pour une entreprise de vente de vêtements au détail. Mon travail consiste essentiellement à m’assurer que le personnel de vente offre un service d’une qualité exceptionnelle à chacun des clients qui font affaire avec l’entreprise. Lorsque ce n’est pas le cas, je dois moi-même entrer en contact avec le client et lui proposer des solutions et des alternatives à ses demandes pour ensuite m’assurer de sa satisfaction totale. En ce qui concerne ma vie sociale, j’ai la chance de côtoyer plusieurs personnes avec qui j’ai de bons liens d’amitié. J’ai besoin de me sentir entouré et épaulé pour être bien. Je suis quelqu’un de très sociable et je suis loin d’être timide. Je n’ai pas peur d’aller vers les gens et de faire de nouvelles connaissances. Pour ce qui est de l’avenir, il va de soi que, dès la fin de cette année, je pourrai commencer à enseigner au secondaire. Cependant, je ne sais pas encore si je vais me lancer tout de suite dans ce domaine. La littérature et les communications m’intéressent énormément et j’aimerais faire une maîtrise dans l’un ou l’autre de ces domaines. On verra bien, l’avenir nous réserve toujours des surprises!
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